Mis en place pour soutenir la production d'électricité verte, les certificats verts ont joué un rôle majeur dans le développement des projets solaires, éoliens et biomasse en Belgique.
Le principe ? Chaque producteur d’énergie renouvelable recevait des certificats qu’il pouvait revendre aux fournisseurs d’électricité, obligés d’en acquérir sous peine de pénalités. Ce système a largement contribué à l’essor des énergies renouvelables, facilitant notamment l’installation de panneaux solaires pour les particuliers et les entreprises.
Plusieurs facteurs expliquent cette décision :
Même sans certificats verts, il existe plusieurs solutions pour rentabiliser son installation photovoltaïque :
✅ Baisse des prix des installations de panneaux solaires : En Flandre et en Wallonie, les certificats verts ont disparu depuis plusieurs années. Pourtant, grâce à la chute des coûts, les installations sont aujourd’hui deux fois plus accessibles qu’il y a quelques années.
✅ Autoconsommation optimisée : Produire et consommer sa propre électricité permet de réduire considérablement sa facture d’énergie, compensant ainsi la fin des certificats verts.
✅ Tiers-investissement : Un modèle où un investisseur finance l’installation, et l’entreprise bénéficie de l’énergie produite à moindre coût.
✅ Primes régionales 2025 : Certaines aides financières restent accessibles pour alléger l’investissement initial.
La fin des certificats verts à Bruxelles marque un tournant dans le financement du solaire, mais les alternatives ne manquent pas. Cette transition ouvre la voie à des solutions plus modernes et adaptées aux besoins actuels.
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